Style François Mauriac avait plus de cœur que d’intelligence, encore que ses éditoriaux en ont fait pleurer plus d’un – nous dirons donc : plus de sensibilité. Il avait remplacé le démon de midi par le démon de la politique. Les promesses de la littérature ont été tenues tant que son écriture est restée chronique, mémoires, Journal – me revient à l’instant l’inoubl
François Mauriac et la connaissance de l’homme (I)
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