Je me relis, et je m’aperçois que je vous parle un peu comme un vieux Mentor pourrait parler à Télémaque. C’est d’un ridicule achevé. Mais c’est sensiblement votre faute. Ne m’avouez-vous pas ingénument dans votre lettre que vous avez « ce pouvoir de vous mettre bien avec tout le monde dès que vous arrivez quelque part » ? De tels aveux m’autorisent à vous parler comme un aîné… J’en augure d’ailleurs de bonnes espérances pour le j
Faut-il plaire à tous ?
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