Mieux valait parler net. Sir Stafford Cripps [secrétaire d’État au Foreign Office] me pria de passer à son bureau avant que je ne quittasse Londres. « Vous engageriez-vous avec l’Allemagne sans nous ? me demande-t-il. – Mon cher ami, lui répondis-je, vous connaissez mes sentiments envers l’Angleterre depuis trente ans et vous ne pouvez pas les mettre en doute. Je souhaite de tout cœur que vous vous engagiez dans l’entreprise au départ. Mais, si ce n’étai
Europe : nous irons de l’avant, vous vous ajusterez
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