Il y a quelques années, j’ai essayé d’expliquer pourquoi j’ai consacré une bonne partie de ma vie à étudier les relations internationales. J’ai écrit que ce n’était pas moi qui avais choisi de les étudier : les relations internationales se sont imposées à moi dès mon enfance. Ici, je vais essayer de traiter de l’autre volet de ma carrière universitaire : mes travaux sur la France. Mais il faut que je dise dès le début que je ne suis pas du tout
Être ou ne pas être Français
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