En rédigeant Le Front antinational, j’ai vu combien la critique de l’extrême droite restait un exercice politiquement marqué. En l’occurrence, marqué à gauche. Comme si l’antifascisme devait être l’apanage de la gauche, à qui il reviendrait de dénoncer la violence de l’extrême droite, sa xénophobie et sa haine de la République. Cette critique est fondée, mais elle a aujourd’hui ses ambiguïtés et ses limites. En France, la critique de gauche
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La droite française et l'extrême droite
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