Poser à quatorze mois du scrutin présidentiel la question de son issue – réélection du président sortant, accession d’un de ses principaux opposants à l’Élysée voire émergence d’un outsider n’appartenant pas au paysage politique actuel – constitue un piège pour tout analyste de l’opinion publique. D’une part, la tentation d’une prophétie électorale se heurte à une vérité selon laquelle un sondage d’intentions de vote ne reflète
Emmanuel Macron peut-il perdre la prochaine élection présidentielle ?
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