Au lendemain du premier tour, on pouvait considérer que tout était favorable à la majorité sortante. Le Président avait obtenu un bon score en élargissant ses soutiens à droite, mais il conservait une large part des électeurs de gauche qui avaient voté pour lui en 2017. Il semblait donc achever la transformation du système partisan en faisant subir à la droite républicaine (LR), dont la candidate n’obtenait pas même 5 % des voix, le même sort funeste qu’au Parti social
De Jupiter à Périclès
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique + archives...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article