Sollicitations François Buloz à Alexis de Tocqueville Paris, le 11 septembre 1837 Monsieur, Vous avez bien voulu, dans le temps, me promettre un fragment pour la Revue ; vous m’obligeriez vivement de me le donner bientôt. Il nous est facile de détacher ce fragment de votre livre, qui doit être bien avancé. S’il vous convenait aussi de traiter un sujet spécial, politique ou autre, je serais bien charmé que vous le destinassiez
Correspondance d’Alexis de Tocqueville et François Buloz
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