Lion Feuchtwanger publia au pire moment de la Yejovtchina [la Grande Terreur soviétique] un récit de voyage en Russie pour témoigner que les procès de Moscou étaient bien fondés. Il le savait parfaitement pour en avoir parlé avec Staline. En outre, ses confrères soviétiques, et naturellement les plus connus d’entre eux, le lui avaient certifié, on ne pouvait pas douter que les accusés des procès de Moscou étaient des scélérats. […] Cependant, lorsque Feuchtwanger quitta la
Communistes mais prudents
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