La « Chinamérique », cette fusion entre les deux principales puissances mondiales qui avait fasciné et terrifié l’historien britannique Niall Ferguson dans les années 2000, n’est plus. Elle était devenue la première économie du globe, représentant environ un tiers du produit intérieur brut mondial et la meilleure incarnation de l’âge d’or de la mondialisation, et notamment de l’intégration économique et de l’interdépendance sino-américaine. Les dividendes de cette rel
Chine et États-Unis :
le grand divorce
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