Benedetta Craveri. — Vous vous trouviez au moment de l’attentat dans les locaux de Charlie Hebdo, qui était pour vous, dites-vous, comme un club d’amis ou l’on pouvait rire de tout sans trop se préoccuper des réactions à l’extérieur. Vous écrivez d’ailleurs que le journal perdait ses lecteurs et que ce n’était pas la préoccupation principale. Mais manier l’ironie sans trop se préoccuper des conséquences est-ce raisonnab
Candide à l’hôpital
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