Même s’ils manifestent parfois quelque réticence à l’admettre, tous ceux qui consacrent aujourd’hui leurs travaux universitaires ou leur enseignement à la Recherche du temps perdu le savent bien, mais il est encore des lecteurs qui oublient ou ignorent qu’en des temps relativement proches – l’immédiat après-guerre – l’auteur de la Recherche, dont le génie avait été pourtant pleinement reconnu dès les années vingt, n’occupait plus qu’
« Bernard de Fallois, le proustien capital »
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