Bayrou, la dette et la gauche

La question de la dette relève-t-elle d’un fantasme ou d’une contrainte indépassable [1] ? À plus de 3 300 milliards, son service – le remboursement des intérêts – grève toute possibilité d’investissement innovant en matière sociale ou écologique d’envergure. Les actifs ou chômeurs ont-ils quelque chose à y gagner, eux qui constituent le cœur de cible d’une gauche plurielle et démonétisée ? Qui aurait pu penser que la Grèce se financerait à des taux

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