Giuseppe Sacco

Titulaire de la chaire de relations et systèmes économiques internationaux pendant 29 ans à l'université libre de Rome. A dispensé pendant plus de dix ans un enseignement d'ouverture sur l'Italie à Sciences Po Paris. A été visiting professor à la Brookings Institution, au MIT, et aux l'université d'Oxford, Princeton, du Texas (Austin), de San Francisco, Fudan (Shanghai) et Sogang (Seoul). Directeur de l'European Journal of International Affairs. A publié, entre autres, Il Mezzogiorno nella politica scientifica (Milan, 1969), Il Nuovo Medioevo (avec Umberto Eco, Milan, 1972), Industria e Potere mondiale (Rome, 1979), L'Invasione Scalza (Rome, 1989), La Polis Internet (Rome 2000), Critica del Nuovo Secolo (Roma, 2008), Batman & Joker : Volti e Maschere dell'America (Roma, 2013).

Mise à jour dans le numéro 165
Article Revue
Une plante parisienne Printemps 2019
n° 165
Trump : le Président d'une génération perdue Été 2017
n° 158
Italie : la défaite de Renzi Printemps 2017
n° 157
Italie. Le scandale de l'espoir Automne 2014
n° 147
La religion gaulliste Printemps 2009
n° 125
L'Europe à la cour du Dauphin Printemps 2009
n° 125
POLITIQUE ITALIENNE Automne 2008
n° 123
Italie : fin ou retour du XXe siècle ? Été 2008
n° 122
Méditerranée Printemps 2008
n° 121
Les trois mondialisations. Propos recueillis par Sébastien Fumaroli en juin 2006 Automne 2006
n° 115
Italie : affrontement partisan et consensus national Automne 2006
n° 115
Perdu dans le peuple de Dieu. Notes prises à Rome aux funérailles de Jean-Paul II Automne 2005
n° 111
L'Europe du sang versé Printemps 1999
n° 85
Appel aux armes ? Été 1994
n° 66
L'immigration et sa signification politique. Réponse à Michel Massenet Printemps 1994
n° 65
Les migrations en Europe. Pour une approche politique Automne 1993
n° 63
L'Italie par des voies secrètes Printemps 1993
n° 61
L'exception européenne Été 1991
n° 54
ÉLOGE DE LA BEAUTÉ ET DE L'ÉRUDITION
« Cioran, considérant la suite de merveilles inventées par la France depuis mille ans, lui accorde le droit de se reposer. De mon côté, j’ai décidé très tôt qu’il ne fallait pas se laisser impressionner par la décadence. J’ai cherché, enseigné et écrit pour faire revivre, au moins par la mémoire, quelques siècles de fécondité française. J’ai été jusqu’à apostropher l’État français et le sommer de faire passer toujours notre patrimoine et notre langue avant le soutien servile aux divertissements de masse. »
Pour Commentaire, le 18 août 2017

 Marc Fumaroli est avec Raymond Aron, Jean-Claude Casanova et Pierre Manent un des fondateurs de Commentaire. Retrouvez tous ses articles sur notre site.