François Sureau

De l'Académie française. A publié : Lambert Pacha (Grasset, 1998), Les Alexandrins (Gallimard, 2003), La Chanson de Passavant (Gallimard, 2005), L'Obéissance (Gallimard, 2007) et Inigo, portrait (Gallimard, 2010), L'Or du temps (Gallimard, 2020).

Mise à jour dans le numéro 173
Article Revue
Arthur Koestler et la France Printemps 2021
n° 173
Bernanos et de Gaulle Hiver 2020
n° 172
Promenades dans Paris. I. Dufayel à la Goutte-d'or et II. La malédication de l'Opéra Automne 2018
n° 163
Les aventures de la justice Été 2017
n° 158
Macron, une philosophie politique ? Été 2017
n° 158
L’étoffe de ce temps Été 2016
n° 154
Deux cercueils vides Automne 2015
n° 151
In memoriam Simon Leys (1935-2014): Images de Simon Leys Été 2015
n° 150
Le droit sans juge Printemps 2014
n° 145
Lettre au Président, sur la voix de la France Printemps 2011
n° 133
Un effort vers la démocratie Printemps 2011
n° 133
À la recherche d'Ignace Hiver 2010
n° 132
Libertés Printemps 2008
n° 121
Thibaudet, immense et familier Été 2007
n° 118
La guillotine traverse les lignes Printemps 2007
n° 117
Présences de Jean-François Deniau Printemps 2007
n° 117
Une année de la vie quotidienne de Dominique Strauss-Kahn Hiver 2006
n° 116
CE QU'IL DISAIT Hiver 2005
n° 112
Psaume Automne 2005
n° 111
Un souvenir hongrois Été 1997
n° 78
La déraison du raisonneur Printemps 1994
n° 65
Notre province française (VI) Été 1991
n° 54
Notre province française (V). D'autres Europes Automne 1990
n° 51
LETTRE REÇUE : INCOMPRÉHENSION Été 1990
n° 50
Notre province française (IV) Printemps 1990
n° 49
Le puits des âmes. À propos de Georges Simenon Hiver 1989
n° 48
Notre province française (III) Été 1989
n° 46
Notre province française (II) Hiver 1988
n° 44
Notre province française (I) Automne 1988
n° 43
Une littérature d'élection (Pastiches) Été 1988
n° 42
Mort de la politique économique ? À propos de la théorie des anticipations rationnelles Été 1985
n° 30
Les démocraties peuvent-elles avoir une politique étrangère ? Été 1984
n° 26
ÉLOGE DE LA BEAUTÉ ET DE L'ÉRUDITION
« Cioran, considérant la suite de merveilles inventées par la France depuis mille ans, lui accorde le droit de se reposer. De mon côté, j’ai décidé très tôt qu’il ne fallait pas se laisser impressionner par la décadence. J’ai cherché, enseigné et écrit pour faire revivre, au moins par la mémoire, quelques siècles de fécondité française. J’ai été jusqu’à apostropher l’État français et le sommer de faire passer toujours notre patrimoine et notre langue avant le soutien servile aux divertissements de masse. »
Pour Commentaire, le 18 août 2017

 Marc Fumaroli est avec Raymond Aron, Jean-Claude Casanova et Pierre Manent un des fondateurs de Commentaire. Retrouvez tous ses articles sur notre site.