François Sureau : L’Or du temps. (Gallimard, « Blanche », 2020, 848 p.) En 1945, Arthur Koestler revient d’Angleterre, où il vivait depuis 1940. Le Royaume-Uni est devenu, écrit-il, une « terre de vertu et de morosité ». Les autorités placardaient sur les murs des affiches menaçantes : « work or want » (le travail ou la misère), un slogan plus adapté à une maison de redressement pour jeunes délinquants qu’à un pays socialiste victorieux. Le voici donc
Arthur Koestler et la France
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