rompait de lui-même en juin-juillet 1789, et d’abord parce qu’une minorité privilégiée voulait conserver l’ancien état des choses contre le désir d’une grande majorité. Il semble bien qu’au moins jusqu’au printemps de 1790 l’ensemble de la population, y compris le clergé et une partie de la noblesse, a été favorable à la Constituante, sans pour autant avoir cessé d’être royaliste. Sans les excès qui sont venus ensuite, et qui ne corre

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Fabrice Bouthillon

Fabrice Bouthillon

Ancien élève de l’ENS Ulm, ancien membre de l’école française de Rome, professeur des universités en histoire contemporaine.