J’ai connu Vladimir Dimitrijevic, il y a à peu près quinze ans, à la foire de Francfort. Or, nous lisons tous périodiquement des condamnations féroces de ce lieu et de cette manifestation, qui serait l’exemple le plus redoutable de la confusion des langues et de la soumission de la culture au commerce. Je n’ai jamais partagé ces condamnations. Au contraire, je suis plutôt fasciné par le côté chaotique de la Foire, et même le rapport entre l’argent et les lettre
Vladimir Dimitrijevic: le passeur
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