Je ne saurais oublier une visite que je fis un jour de printemps au grand historien Mathiez, il y a trois ans, pour le consulter sur ces matières. Dehors commençait le printemps aigre et vif de notre Paris, et chez lui nous commençâmes d’emblée une conversation aigre, vive et plaisante, car je l’interrogeais en vain sur les choses de l’esprit, il me répondait toujours par les choses de la matière et m’incitait avec la violence mêlée de bonté, qui lui était cout
Visite à Mathiez à propos de l’histoire
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