À Stamboul, on n’entend guère parler de ces obscurs éducateurs ; on les ignorerait même complètement si parfois ils ne publiaient dans une revue littéraire des morceaux de folklore anatolien d’une saveur et d’une âpreté inouïes. Avec quelques militaires et quelques « jeunes Turcs » d’Ankara, ce sont les derniers tenants de l’austère esprit kémaliste. On n’est pas trop reconnaissant à ces spartiates d’être ce qu’ils sont : les rep
Vers la fin du kémalisme
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