Femme, peintre et célèbre : dans l’Europe des Lumières, il fallait au sexe faible du génie, ou du moins une forte dose de travail et d’audace, pour transgresser les tabous et gravir les échelons d’une carrière dominée par les hommes. Percer, se faire connaître, obtenir des commandes de l’élite cultivée, en retirer de quoi vivre, relevait du défi. Le cas d’Angelica Kauffmann, qui n’a jamais connu dans notre pays la renommée de femmes peintres telle
Un talent immense, pour une femme…
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