Le rapport du langage à la politique mérite de figurer parmi les questions que posent l’ascension d’Emmanuel Macron et le développement de son action. Le discours prononcé le 9 avril dernier devant les évêques de France vaut sans doute d’être considéré à l’aune d’une incontestable virtuosité d’expression, et par les attitudes qu’il incarne peut-être plus que par les positions qu’il défend. Jusqu’à présent, on en a sur
Un subtil exercice de langage
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