Trois générations d’Européens, depuis la Seconde Guerre mondiale, ont pris l’habitude de voir dans les États-Unis le chef du monde libre et l’ultime espoir de la liberté. Lorsque le national-socialisme voulut écraser l’Europe, c’est l’Amérique qui nous a sauvés de ses griffes. Lorsque le communisme étouffait la moitié du continent, c’est sur l’Alliance atlantique que s’appuyaient ceux qui voulaient préserver l’espoir d’
Un mauvais vent d’outre-Atlantique
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