On dirait que nos têtes françaises n’ont de capacité que pour recevoir une seule idée ; cette idée devient une espèce de religion, et les croyants traitent ceux qui pensent avoir deux idées au lieu d’une comme des hérétiques et des impies. L’idée dominante, en 89, était : détruisons tout pour tout recréer ; et quand on disait à ces destructeurs si bénévoles qu’il fallait peut-être se dépêcher moins et que, dans l’histoire, les révolutions qui
Un mal français
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