Mon cher Georges, je t’écris. Je t’écris parce que tu préfères lire. L’oreille pour la musique ; l’œil pour la peinture, pour le cinéma, et pour la page. Déjà, ici-bas, tu répondais le moins possible au téléphone, condamnais sans appel la touche répondeur, ignorais l’existence du « portable », n’as jamais accueilli Internet ni envoyé aucun courriel. Je sais que tu n’adores pas non plus les jeux de mots. Pardonne donc celui-ci : tu étais, tu resteras, un homme
Un homme de lettres
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