Lorsque les principes et les valeurs éthiques générales ne sont plus assez puissants pour réguler un sentiment comme l’amour de la patrie, lorsque celui-ci n’est plus éclairé par la raison morale, il se met à croître et à proliférer. Dans la mesure où les autres idéaux s’effondrent, l’idéal national, seul survivant, devient l’idéal des idéaux ; dans la mesure où nous laissons se perdre les biens de la civilisation, le nationalisme paraît incarner s
Sur le nationalisme
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