Il n’y a pas d’histoire du présent Il n’y a pas d’histoire du présent. Il manque à l’observateur contemporain non pas tant, comme on le dit, le recul ou l’impartialité que la connaissance de ce qui donne aux événements leur vraie signification : les suites. Déjà, en relisant les chroniques d’une histoire toute proche, on se sent plus d’une fois tenté d’opposer aux jugements portés sur le coup nos jugements d’aujourd’hui
Sur la France de 1940 à 1944
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique + archives...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article