Sur la défaite de 1940

Claude Quétel nous invite, dans son dernier ouvrage, à la repentance pour un crime contre la patrie, perpétré entre 1918 et 1940 par nos grands-parents et nos arrière-grands-parents, coupables en bloc, au moins inconsciemment. Et, tout en reprochant aux Français de ne pas s’être aimés, il semble leur donner raison, en argumentant contre leurs faiblesses et leurs erreurs, tout au long de son livre. Claude Quétel part du principe que la défaite de juin 1940 est la pire catastrophe

La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique...

Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.

S'abonner
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article
Bénédicte VERGEZ-CHAIGNON

Bénédicte VERGEZ-CHAIGNON

Historienne et éditrice. A publié Histoire de l’épuration (Larousse, 2010), Les vichysto-résistants de 1940 à nos jours (Perrin, 2008) et Vichy en prison (Gallimard, 2006).