Claude Quétel nous invite, dans son dernier ouvrage, à la repentance pour un crime contre la patrie, perpétré entre 1918 et 1940 par nos grands-parents et nos arrière-grands-parents, coupables en bloc, au moins inconsciemment. Et, tout en reprochant aux Français de ne pas s’être aimés, il semble leur donner raison, en argumentant contre leurs faiblesses et leurs erreurs, tout au long de son livre. Claude Quétel part du principe que la défaite de juin 1940 est la pire catastrophe
Sur la défaite de 1940
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