Stendhal, pour nous, ce sera toujours, d’abord, ce mot de Léon Blum, à la fin de son Stendhal et le beylisme, publié en 1914 – lu il y a bien longtemps, mais dont le souvenir, térébrant, ne fut jamais offusqué : « Stendhal est l’homme des moments confus, des mélanges sociaux, des périodes désordonnées. Chaque fois que dans la formation individuelle des caractères les sensibilités pourront s’aiguiser sans objet et sans discipline, chaque fois que, par le dévelo
Stendhal, unforgettable
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