Dans Émile Ajar, lirait-on encore Romain Gary ? Sans doute peu ; et il resterait comme l’auteur d’un seul livre, le premier, Éducation européenne, et l’inspirateur de films à succès, comme Les Racines du ciel, Clair de femme ou La Promesse de l’aube. Son nom, dans la liste des Prix Goncourt (pour Les Racines du ciel, en 1956), passerait probablement aussi inaperçu que celui de Roger Ikor (Les Eaux mêlées, 1955) ou de Francis Walder (Saint-Germain ou la négociat
Romain Gary : un cas unique dans l’histoire littéraire
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