Restent les moralistes

par Louis Van Delft

Nº 151 automne 2015 Réservé aux abonnés

Quelques lecteurs de Commentaire doués d’heureuse mémoire se souviennent peut-être de la vingtaine de chroniques dramatiques signées d’un nouveau venu, parues entre 1991 et 2001. Très perdreau de l’année, rebuté par les mœurs de l’entre-soi médiatique, aggravant encore son cas en adoptant pour devise la maxime de La Rochefoucauld : « Nul ne mérite d’être loué de bonté s’il n’a pas la force d’être méchant », le trop sévère crit

La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique + archives...

Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.

S'abonner
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article
Louis Van Delft

Louis Van Delft

Professeur de littérature française à l’université Paris-Nanterre. Prix Humboldt pour la coopération scientifique entre la France et l’Allemagne. Fellow, Wissenschaftskolleg, Institute for Advanced Research, Berlin. Derniers ouvrages parus : Littérature et anthropologie (PUF, 1993) ; édition des Caractères de La Bruyère (Imprimerie nationale, 1997) ; Le Théâtre en feu (Tübingen, Narr, 1997) qui reprend une partie des chroniques parues dans Commentaire ; Frammento e anatomia (Il Mulino, 2004) ; Les Spectateurs de la vie. Généalogie du regard moraliste (Presses de l’Université de Laval, 2005). En préparation : Les Moralistes (Gallimard, 2007).