« Lâcheté », « mollesse »… mais encore ? Les accords de Munich, une débandade suicidaire ? Ou, après l’Anschluss, l’ultime tentative de stopper Hitler en se donnant du temps et les moyens, au cas où la guerre serait inévitable, de triompher du Reich ? Peu d’historiens désormais se rangent derrière la seconde explication ; au contraire, la plupart accablent Neville Chamberlain et Édouard Daladier d’avoir cédé et abandonné la Tchécoslovaquie à son sort
Relire Munich et Vichy sans fatalisme anachronique

Munich 1938. La paix impossible
Maurizio Serra
Perrin, 2024
400 pages
La République assassinée. Mars-juillet 1940
Michèle Cointet
Bouquins, 2024
336 pages
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique + archives...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article