Il faut ouvrir le précieux recueil d’articles sur le cinéma de l’Occupation de François Vinneuil, alias Lucien Rebatet, publiés par Philippe d’Hugues (et Pascal Manuel Heu), comme on le ferait d’un coffret magique, mais dont on aurait perdu la clef. De ces papiers publiés dans Je Suis partout de 1941 à 1944, il se dégage en effet une entêtante nostalgie qui n’est pas seulement communicable à ceux qui auront vécu ces années ou seront captivés par l’
Rebatet ou la nostalgie n’est plus ce qu’elle était
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