Depuis une vingtaine d‘années, on a assisté à une véritable prolifération d’études schmittiennes, qui s’est accompagnée en France d’une quantité considérable de traductions, et qui a fini par donner une place centrale dans le débat intellectuel à un auteur longtemps considéré comme plus marginal encore que sulfureux, dont le public français ne connaissait guère que La Notion de politique, traduit en 1972 avec la Théorie du partisan. Comme on le sait, cette
Raymond Aron lecteur de Carl Schmitt
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