C’est une observation que je fais régulièrement : je n’ai jamais rencontré un lecteur d’Aron avec lequel je ne m’entende pas bien. Je ressens comme une fraternité spirituelle qui semble se diffuser parmi ceux qui héritent de son intelligence. Aujourd’hui, je me dis que la confiance immédiate qui naît entre ceux qui savent qui était Aron est probablement due à l’indissociabilité de sa supériorité intellectuelle avec une supériorité morale. Aron, pour moi, pour nous
Raymond Aron, éducateur
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