Disons-le d’emblée, les Théories de la puissance, que vient de publier Fabrice Argounès, ne sont pas exemptes de défauts formels. L’ouvrage est, à l’évidence, l’adaptation d’un travail de thèse sous la direction de Bertrand Badie, et cela se sent hélas un peu. La préface du professeur de Sciences Po, théoricien de « l’impuissance de la puissance », est très remarquable mais le livre qui suit n’est pas toujours si agréable à lire. De peti
Qu’est-ce qu’un État puissant ?
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