Hormis Denis Kessler, peu d’experts compétents ont osé lever le voile d’ignorance pudiquement jeté sur notre protection sociale au nom de la solidarité, comme si nous ferions fausse route en posant des questions trop crues que nous serions incapables de gérer politiquement. Et pourtant nous pensons que la révérence légitime que nous devons à ce système de protection sociale, qui nous a permis de traverser le chaos de la seconde moitié du xxe siècle et du début du xxie
Quel avenir pour l’État-providence ?
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