IL est des écoles où le sujet qui se cherche risque de se perdre et, en se perdant, gagne la chance de se trouver : telle est, au fond, la leçon de l’étude proustienne parue en janvier 2010 sous la signature de Diane de Margerie. Proust et l’obscur : le titre est explicite. L’auteur aspire à rendre compte des aspérités d’une écriture, de ce qui, dans un ouvrage aussi foisonnant que l’est À la recherche du temps perdu, se situe du côté de l’ombre e
Proust sous l’œil du critique
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