Voilà un peu plus d’un an que Bernard de Fallois a disparu et, comme à tous ses amis, sa générosité, son intelligence, sa drôlerie, sa mauvaise foi feinte et son systématique esprit de contradiction me manquent. Lors de nos déjeuners, il parlait peu de Proust, et je préférais lui poser des questions sur Simenon et Pagnol qu’il avait très bien connus (parvenant même à avoir avec Simenon une forme d’intimité, ce qui ne devait pas être facile). Plusieurs fois je lui
Proust avec Fallois
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