Ce qui frappait d’abord, quand on côtoyait Georges, ou plutôt quand on entrait dans le cercle où il agissait, c’était l’intensité de sa présence, et d’abord de sa parole – une parole nette, énergique, rythmée, une belle voix grave, des gestes vifs, une physionomie mobile et expressive, bref une « forme maîtresse » puissamment dessinée. Cela surprendra sans doute ceux qui se souviennent de sa verve comique, mais, ce qui caractérisait Georges à mes yeux, c’était
Présence
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