Pour ma part

L’étonnement que je ressentis en voyant pour la première fois un groupe de Fuégiens sur une côte sauvage si accidentée, je ne l’oublierai jamais, car aussitôt me vint brusquement à l’esprit cette réflexion : tels étaient nos ancêtres. Ces hommes étaient absolument nus et barbouillés de peinture, leurs cheveux longs étaient emmêlés, leurs bouches écumaient d’excitation et leur expression était sauvage, effrayée et méfiante. Ils ne possédaient presque a

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