Sa vie fut à l’image de sa pensée : claire et obscure. Converti, il distribue des aumônes au-delà de ses moyens ; et pourtant il montre en diverses circonstances une certaine âpreté au gain ou à la conservation de ses biens et jusqu’à ses derniers jours s’occupe de ses affaires : la vente d’une machine arithmétique, la pascaline ; l’achat d’une boutique à la Halle au blé et les deux entreprises qu’il lança avec le duc de Roannez, l&r
Pascal dans le siècle
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