Padre Pio est mort, Sergio Luzzatto aussi ?

Padre Pio est mort, Sergio Luzzatto aussi ?

Dans Un beau ténébreux, Gracq écrivait que le célèbre mot de Casimir Périer à Odilon Barrot sur les journées de juillet 1830 (« Il n’y a pas eu de révolution ; il y a seulement eu un changement dans la personne du chef de l’État ») peignait en fait une race, la race de ceux pour lesquels il n’y a jamais de révolution – « la race éternelle des Thomas, pour lesquels la vision des stigmates sur le corps du Ressuscité ne serait jamais que l’occasion de c

La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique + archives...

Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.

S'abonner
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article
Fabrice Bouthillon

Fabrice Bouthillon

Ancien élève de l’ENS Ulm, ancien membre de l’École française de Rome, professeur d’histoire contemporaine à l’université de Bretagne occidentale à Brest. Dernier ouvrage paru : Situer le fascisme. L’addition italienne des extrêmes, 1914-1945, Cerf, 2025.