Constater que nombre d’Européens et une partie des Américains ont été déçus, à la mesure de leur enthousiasme initial, par le Président Obama relève de l’euphémisme. Le Président américain a décontenancé par sa relative indifférence vis-à-vis de l’Europe – jusqu’à ce que Poutine envahisse la Crimée et cherche à déstabiliser durablement l’Ukraine –, ses palinodies sur la Syrie, son attitude de distanciation lors de l’intervention en Liby
Obama et le Pentagone. Le témoignage de Robert M. Gates

La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique + archives...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article