Nous lisons Pascal

Quelquefois pour nous divertir, nous lisons les petites lettres1  : bon Dieu, quel charme, et comme mon fils les lit ! Je songe toujours à ma fille, et combien cet excès de justesse de raisonnement serait digne d’elle ; mais votre frère dit que vous trouvez que c’est toujours la même chose, ah ! mon Dieu ! tant mieux ; peut-on avoir un style plus parfait, une raillerie plus fine, plus naturelle, plus délicate, plus digne

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