Nous faisons à la politique une trop large part

Tous tant que nous sommes, nous faisons à la politique une trop large part ; nous avons, de ce qu’elle peut et doit être dans la vie sociale, une trop grande idée. Il semble que nous considérions le gouvernement comme un Esculape en possession d’un remède universel. Nous nous adressons à lui pour nos affaires, pour nos opinions, pour nos plaisirs. Nous voulons qu’il nous gouverne, qu’il nous occupe, qu’il nous émeuve,

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