Henri FROMENT-MEURICE, Nous cheminâmes ensemble À l’automne 1954, lorsque je fus nommé chef adjoint du cabinet de Roland de Moustier, secrétaire d’État aux Affaires étrangères, je connus Jean-Marie Soutou, directeur adjoint du cabinet du ministre, alors Pierre Mendès France qui cumulait Matignon et le Quai. Nous avions dix ans d’écart et un bagage bien différent. Le mien avait trois poches : l&rsqu
Nous cheminâmes ensemble
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