Enfin, l’auteur de la Ballade des dames du temps jadis bénéficie de sa Pléiade à lui (il faisait jusqu’alors partie de l’anthologie, aujourd’hui épuisée, des Poètes et Romanciers du Moyen Âge), et cette Pléiade est un véritable modèle : précise, lisible, érudite sans pédantisme, elle offre un Villon accessible aux lecteurs du xxie siècle. Si Raymond Queneau, cité dans les notes, pouvait écrire en 1955 « La traduction s’impose pour presque tous le
Notre frère Villon
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique + archives...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article