La chute de l’Empire romain est un sujet béni pour un historien en mal de notoriété1. Depuis Edward Gibbon il y a plus de deux siècles qu’on en parle. Voilà qu’au firmament des hypothèses farfelues réapparaît celle du climat. Que Rome et son Empire aient disparu victimes de la fin d’une longue période exceptionnellement chaude, « un optimum climatique » qui aurait duré d’environ 200 avant J.-C. à environ 150 après J.-C., et d’une peste particulièrement sévère a
Non, l’Empire romain n’est pas mort de froid
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