À la mi-février 2011, le président de la République réunit une sorte de conseil de crise pour décider du meilleur moyen d’obtenir le transfèrement en France de Florence Cassez, condamnée au Mexique pour complicité d’enlèvement, sujet particulièrement sensible dans un pays ou les rapts avec rançon se multiplient de manière spectaculaire. On en a compté 8 000 au cours de l’année précédente. Souvent suivis d’assassinats, même après paiement du tribut exigÃ
Nicolas Sarkozy, tel qu’en nous-mêmes
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique + archives...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article